C’était bien !

C’était bien mais c’est fini, nini

Y’EN A QUI MANQUENT PAS D’AIR, petite fanfare de rue et d’intérieur

Bandeau YAQ WP 2020

« Y’en a qui manquent pas d’air , et d’air (s), j’en manque pas, alors à vos oreilles, ça va souffler ! «  Catherine Delaunay a créé à la fin des années 1990 un petit orchestre de rue et d’intérieur. Une joyeuse bande de marins d’eau douce avec Catherine Delaunay, clarinette mib et saxophone soprano, Lionel Martin, saxophones, Daniel Casimir, trombone, Didier Havet, soubassophone, Bruno Tocanne, batterie.

D’autres moussaillons se sont joint à eux au cours de l’aventure, Tatiana Lejude, batterie, Etienne Plumer, batterie, Thierry Lhiver, trombone, Jacky Lignon, accordéon, Pascal van den Heuvel, saxophones, Laurent Brisard, conques et autres coquillages, Tom Walsh, trombone.

Extraits de presse Y’en a qui manquent pas d’air

Parcours originaux et créatifs en diable…
« Y’en a qui manquent pas d’air, quintet fanfaronnesque de Catherine Delaunay, avec Lionel Martin, Daniel Casimir, Didier Havet et Etienne Plumer. Cinq joyeux musiciens ont hissé la voile d’un petit navire turbulent, prompt à tous les louvoiements, pourvu qu’ils tissent des parcours originaux et créatifs en diable. La qualité première de ces audacieux personnages qui n’hésitent pas à saborder la facilité est, là encore, la complicité. La maîtrise instrumentale est bien sûr de rigueur (à Cluny, c’est banal…). L’ensemble est jubilatoire mais il ne masque pas les touches émotionnelles qui émergent au détour des notes. Catherine Delaunay tient là un bel équipage dont la liberté de ton touche au coeur. »
– Culture Jazz – Yves Dorison – août 2009 – Festival Jazz Campus en Clunisois –

Un charmant répertoire pour orphéon buissonnier…
« La clarinettiste Catherine Delaunay a écrit un charmant répertoire pour orphéon buissonnier.
Fragments mélodiques narquois enchaînés à la diable, rythmes voyous préférant la boiterie de l’impair, métal des instruments d’extérieur (le trombone de Daniel Casimir, le saxophone de Lionel Martin, le soubassophone de Didier Havet) teinté du bois de velours de la clarinette et plus souvent caressé que battu par Bruno Tocanne. Musique à vocation d’animation, d’illustration, d’ameublement, mais la qualité des arrangements, de l’orchestration et de l’interprétation nous fait dire que cet ameublement-là relève de l’ébénisterie d’art. A la lecture de la distribution, on s’en doutait un peu. D’autant plus qu’invitation est faite à l’improvisation, ici traitée plus sur le terrain du libre contrepoint hérité de la new thing que sur celui de la trame
harmonique. Une réussite du genre. »
– Jazzman – Frank Bergerot – février 2004 –

La profondeur d’une musique diablement envoûtante…
« Y en a qui manquent pas d’ air »… et encore moins de souffle, de bras, de clefs, de joie, de générosité et d’imagination… La profondeur d’une musique diablement envoûtante. Goûtez aux plus vifs débordements de la clarinette de Catherine Delaunay (et à ses infinies douceurs aussi), écoutez les murmures convulsés de Didier Havet, écoutez la liberté que s’offre (et que l’on offre) à la batterie…Un disque ravissant… mais bien plus que cela, vous vous en doutez ! »
– Impro Jazz – Luc Bouquet – mars 2003 –

Coeur de Lune, la fanfare est un monde en soi…
« Parfois refuge pour instrumentistes déficients, elle peut aussi regrouper des musiciens accomplis et faire naître une somme musicale qui dépasse les vertus de chacun. La clarinettiste Catherine Delaunay a constitué une fanfare qui ne comprend que cinq musiciens.
Une « fanfarette » ? Pourquoi pas ? Le résultat est enthousiasmant par la relative sophistication et finesse des arrangements, le côté primesautier des interventions solistes, le plaisir de jouer évident à l’écoute. On a l’esprit de la fanfare, sans le poids mais sans édulcorants. Un régal. »
– Répertoire – octobre 2003 – disque « Recommandé du mois »

Vivifiant… Variations sensibles, pleines de liberté et de talent…
« C’est une fanfare, de rue, d’intérieur, c’est cinq musiciens qui brassent leur musique au fil de leurs instruments. Catherine Delaunay, Lionel Martin, Daniel Casimir, Didier Havet et Bruno Tocanne, pour un univers où se rencontrent un jazz européen mâtiné de free et de classicisme, et des ambiances de film. Vivifiant, on entre dans la danse avec des variations d’un bel éclectisme, sensibles foutraques, pleines de liberté et de talent… »
– 491 – octobre 2002 –

Une des musiques les plus inspirées, aériennes et voyageuses qui soient…
« Y’en a qui manquent pas d’air » regroupe quelques musiciens irréductibles du jazz actuel, tous embarqués séparément dans des directions singulières, aventuriers en tambours et vents. Ensemble ils inventent une des musiques les plus inspirées, aériennes et voyageuses qui soient – à la fois populaire, charmeuse et tranquillement novatrice… »
– Nevers D’Jazz Festival – octobre 2002 –

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