Avec PépéE (drôle de blaze), pas d’boîte à punaise, pas d’piano à bretelles, pas d’boutonneux, pas d’dépliant. C’est d’autres boîte à frissons qu’on y trouve : on y pince d’la palette, on y donne du vent dans la claribole, on y joue du saxophone, sans son blair, histoire de pas s’faire écrémer par les guincheur.
Avec PépéE à Paname, on a ouvert sa margoule, on a fait du barouf, on a fait du chabanais, on a jacté, on a mouflé… et ça jaspine encore.
Les trois musicos, qui ont du v’lan, enfilent un costard, une paire de rêves de valses pour l’piano à orteils, s’couvrent d’un gibus, d’un galure ou d’un rigadin ; c’est p’t’êtr’ pas un carbeluche-galicé, mais y z’ont d’l’allure ! Y’a plus qu’à faire marcher ses entonnoirs à musique, et à tricoter des pincettes
Pas d’quoi s’occuper du chapeau, d’la loupiote, avec PépéE, on pique une polka, on javane, on valse… quoi qu’y s’passe, y z’ont toujours l’battant su l’battoir!
à Jo Privat, Tony Murena, Gus Viseur et Emile Vacher
PépéE